Lundi, fête nationale du Québec. De retour de Gaspésie (Sainte-Flavie), la petite famille et moi relaxions à Kamouraska, quand un drôle d’oiseau a attiré notre attention. Du kitesurfing à Kamouraska. Entre ciel et mer.
Le Nikon 1 V1 et la Nikkor 30-110 ont été mis à contribution. Ça m’a rappelé ce que Jean Soucy a écrit à la suite d’une de ses photos publiées sur sa page Facebook : « Parfois, suffit juste d’être au bon endroit au bon moment, mais….faut toujours avoir une caméra sous la main. J’ai appris (copié) ça de mon bon ami François Drouin dont je ne me rappelle pas l’avoir vu une seule fois sans sa caméra sous le bras. »
Un spectacle, entre ciel et mer, qui n’a pas échappé à l’oeil de Marianne qui a bien regretté ne pas avoir apporté son petit Fuji. [Nikon 1 V1 + Nikkor 30-110, ISO 100, 30mm, f8, 1/320s, main levée]
Ce n’est certainement pas ici que je vais le contredire. Que ce soit le D800E, le D7100, le Nikon 1 V1 ou même plus simplement mon iPhone, j’ai toujours un appareil photo à portée de main. Toujours. Si j’insiste pour dire que l’une des grandes qualités d’un photographe est sa préparation (repérage et autre), la première, c’est d’être en mesure de photographier.
Pourquoi n’avoir emporté que le V1 et la 30-110? Pour faire différent. Avec la 10-30, je me serais contenté du paysage et des jolies maisons de Kamouraska. Avec la 30-110, je quitte la monotonie. Une des règles primaires en photographie est de se fixer un sujet avant le départ. Ça évite de revenir bredouille. J’étais avec les enfants en sortie familiale, la photo étant accessoire, il était donc inutile de m’encombrer. Avec ce combo, j’avais à ma portée quelques portraits, de la photo animalière et avec un peu de chance, de sports. Il n’est pas rare, du quai de Kamouraska, d’apercevoir des adeptes de sports nautiques en action.
Kitesurfing à Kamouraska avec en arrière plan, à l’ouest, Saint-Denis-de-la-Bouteillerie. [Nikon 1 V1 + Nikkor 30-110, ISO 100, 110mm, f5,6, 1/1600s, main levée]
Trop de photographes effectuent des sorties photo sans « savoir ». À moins de posséder un 18-300 ou 28-300, c’est courir le risque de revenir bredouille. Savoir où l’on va, ce que l’on y trouvera et choisir l’équipement adéquat c’est augmenter ses chances de réussite et augmenter la qualité de ses photos.
Pour les autres, ceux qui ne savent jamais quoi choisir, oubliez les appareils de type reflex et offrez-vous au tiers du prix un bridge avec zoom de 40x. Vous vous ferez d’autrement plus plaisir et avec l’argent économisé, offrez-vous plutôt un billet de voyage – avion, train, croisière, etc. – vos photos ne manqueront pas de susciter de l’intérêt.
Je ne l’oubli pas moi non plus…toujours traîner ses bébelles!
Des adeptes de kite, on en avait croisé aussi à Carleton dans la Baie l’an passé! Et pas qu’un! Des dizaines!
Un de nos membres en pratique et tu serais surpris de savoir où…je crois que tu aimerais l’endroit! Je n’ai pas encore vu, mais il m’a dit que des touristes en quête d’un secteur se sont aussi arrêté avec leurs kites et ont trouvé l’endroit enchanteur!
Photogénique? Va falloir aller voir…!
Il s’en fait aussi dans le deuxième bassin au marais de Cacouna, celui longeant la route menant au port de mer de Gros-Cacouna. 😉 Mais je préfère et de loin sur le fleuve. Certains en font aussi l’hiver, à Notre-Dame-du-Portage.
C’était effectivement Cacouna! 😛
J’vais finir par te croire quand tu me dis que tu sais tout, tout le temps 😛 Pouhaha!
😉 Cacouna est un de mes terrains de jeux préférés. Si ça se trouve, j’ai ton athlète en photo avec son kite.
Belles photos François. Tu nous aurais passé ça pour des photos prises avec ta D800E et je n’aurais peu-être jamais vu la différence. J’adore celle à la verticale. Et merci pour la mention.
Plus j’utilise ma petite Nikon 1V2, plus je m’aperçois des possibilités immenses ( c’est peu être un grand mot) de ce petit bijou. Légère et très versatile avec la série d’objectifs offerts. Et d’autres sont en développement.
Et pour un photographe animalier et de nature, avec l’adaptateur FT-! disponible qui donne la possibilité d’utiliser presque tous ses objectifs réguliers avec le système Nikon 1 et de bénéficier du facteur de recadrage de 2.7x, c’est un nouveau monde qui s’offre à nous.
Un objectif de 300mm en deviens un de 810mm. Un rêve. D’autant plus qu’un tel objectif coûterait au bas mot plus de
$ 12,000. Un 300 f4 coûte un peu plus de $1000,00. La qualité d’image n’égalera jamais un objectif fixe de 800mm mais cherchez un peu sur internet et vous verrez des photos incroyables prises avec ces petits bijoux de Nikon 1 V1 et V2 équipés soit avec un 70-200 2.8 VRII , un 300mm F4, un 28-300 VR et l’adaptateurFT-!.
Et si le prochain V3 a un écran orientable et le suivi sur plusieurs pointsi en AF-C avec l’adaptateur FT-1, il aura un acheteur assuré.
Salut Jean, C’est dans sa dynamique, son piqué et en grand tirage que le D800E s’exprime le mieux. 😉 En petite vignette comme ici, les différences sont moins notables. Mais il reste que la série 1 de Nikon, celle des V, sont top. À sérieusement considérer lors d’un achat.
Je ne pourrais plus me passer du V1. Même Nadia a retrouvé goût à la photo grâce à cet appareil. Appareil nommé plaisir si tu veux mon humble avis.