Avec Winter Harbor, je vous ai présenté la fin d’un périple de cinq jours en terre étasunienne. Dans les prochains jours, à l’occasion de quelques billets, vous aurez un aperçu plus chronologique de ce court voyage. Un périple axé sur le plein air et non la photographie, ce qui ne m’a pas empêché de prendre quelques photos, évidemment.
Ici, le Margaret Todd. Le voilier, ouvert au public, est un quatre-mâts de 151 pieds et est ancré en saison estivale à Bar Harbor. Il porte le nom de la grand-mère du capitaine – aussi le concepteur et le designer – du navire, Captain Steven Pagels.
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Le Margaret Todd à Bar Harbor. [NikonD800E, ISO 100, f8, main levée]
Le bois notamment des mats et des gaffes sont faits de sapin de Bar Harbor. Presque toutes les boiseries ont été faites sur mesure à Southwest Harbor. Le navire a été lancé sur les mers en Floride en 1998.
Bonjour M. Drouin,
J’aime toujours vos photos noir et blanc, qui ont un petit air vieillot. En voyant la première photo, je croyais que vous alliez faire un billet historique. Toujours, comme d’hab… super photos!
Hé ! Merci Annie. C’est le style « historique » que je voulais donner au billet. Je croyais à la base le voilier beaucoup plus vieux, mais non ! 1998, c’est un jeunot ! Mais croyez-moi, il a vraiment fier allure, amarré au pied du village qui est un peu le Percé du Maine.
FRANÇOIS DROUIN ! Vous le savez que j’y retourne, un peu à cause de vous d’ailleurs, l’attente est insoutenable. Quelles belles photos, surtout la première. Un fond d’écran de rêve. Je compte bien faire la croisière de trois heures cette fois. Désolé pour les majuscules, ce n’est pas un manque de respect, seulement… vous me torturez.
Ça me fait plaisir ! Je compte bien faire un tour de ce beau voilier si j’y retourne (cet automne ou au printemps prochain). Et il y a de bien beaux voiliers à Camden sur lesquels il est possible de s’offrir une courte excursion. Ahhh, le Maine.
C’est superbe! L’ensemble du paysage se prête au traitement! Le quai, la cabane, idem pour le voilier!
Parfois, on se casse la tête et certaines photos sont faites pour être laissées naturelles, et d’autres, on les voit même avant de cliquer 😉
Merci Marie-Claude.
Celle-là, je la voyais comme ça. Je l’ai même noté dans mon carnet. Je l’ai vu la veille, mais des bateaux devant me le cachait. J’étais de retour le lendemain à 6 h 30 le matin.
Super belle ambiance François, on se croirait début 1900. Je me vois il y’a quelques années dans le grenier chez mon grand-père, épluchant les pages d’un vieille album photo plein de poussière De toute beauté.
On a posté quasi en même temps! C’est drôle. Pour dire la même affaire en plus. 1900, en plein ça.
Merci Jean. J’adore cette teinte, mais j’essaie de l’utiliser avec parcimonie. Je trouve la teinte sépia trop artificielle.
J’ai pensé que c’était une photo d’époque. Je remarque souvent que tes traiments sont doux, tu pousses pas trop le contraste ni la sat. Méchant piqué, la Sigma 17-35.
Vraiment? Alors là, je le prends comme un compliment. Quoique pour faire plus réaliste, j’aurais dû ajouter du grain et réduire la netteté. L’objectif pour la première est l’indispensable Nikkor 28-300.