Comment devant l’infiniment grand je me sens infiniment petit.
Je me souviens de ces nuits étoilés lorsque j’étais enfant à Saint-Michel-des-Saints (Saint-Ignace-du-Lac). De ces nuits à m’endormir sur l’herbe froide en songeant aux trésors qui se révèleraient au-delà de notre petit monde.
Photo prise au parc des Grands-Jardins, SEPAQ
Nikon D810, Tokina 16-28mmf2.8 @ f2.8, NEF