Tribeca est l’un de mes quartiers préférés. Un quartier qui se découvre lentement, à pied. Et dans tout ce décor qui s’offre à vous se retrouve une toute petite rue, facile à manquer, Staple Street. Ce qui fait sa particularité, c’est ce petit pont en fonte qui relie deux bâtiments. Ces deux bâtiments ont appartenu au New York Hospital. La bâtiment côté Staple Street a été construit comme la salle d’urgence. Du côté ouest, c’est ce qui était la buanderie. La passerelle a donc été construite pour relier les deux bâtiments. John, un passant, nous a expliqué que les corps sans vie étaient aussi évacués par cette passerelle pour être menés à l’incinérateur. Aujourd’hui les bâtiments abritent de luxueux lofts.
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Première présence à New York depuis octobre 2011. La grosse pomme n’a pas déçu ! L’amoureuse et moi y étions du 27 mai au 1er juin. Le menu était (très, très) chargé. Entre 33 000 et 45 000 pas par jour. NYC est une ville qui se découvre bien à pieds même si le métro est un avantage certain. Old pier 1 à marée haute, Fuji X-Pro3, 18-55, f11, 120sec. Nous avons été chanceux, aucun jour de pluie sur les cinq jours. Surtout, aucun nuage de smog créé par les feux de forêt du Québec n’est venu gâcher notre trop court voyage. Qu’un ciel bleu du matin au soir pendant cinq jours avec, en prime, Manhattanhenge ! Plusieurs autres photos seront ajoutées sur le blogue au fil de prochains jours.
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New York City ! Ah NYC, la ville qui ne dort jamais. Comment oublier New York ? Alors qu’un ami s’y trouve avec sa petite famille, j’ai eu envie de revenir en octobre 2011, à ma dernière visite dans la grosse pomme. En fouillant sur le blogue, oh stupeur, j’ai réalisé que certaines photos n’ont pas suivi le transfert du billet « Le New York blues » que j’avais initialement posté sur le blogue d’infodimanche.com en 2011. L’occasion était donc belle de revisiter mes photographies de ces 48 heures inoubliables. J’en ai profité pour diviser et compléter le texte original en une série de huit billets dédiés à cette mégapole fantasque. En espérant que la ballade vous plaira. Enjoy. CLIQUEZ sur ce lien afin d’accéder au huit nouveaux billets : ICI -> http://www.zoomcommunication.net/category/voyages/new-york-city/
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J’aime le métro. J’aime le roulis tout en douceur du métro, son tangage. J’aime les sons, les portes qui s’ouvrent ces gens qu’il avale et recrache. J’aime être assis parmi la foule. Être parmi ces voyageurs souterrains, ces taupes urbaines. Ces gens qui ne me regardent pas, cette meute qui n’en a strictement rien à cirer de ma petite personne. J’aime le métro. Je dois avoir autant de photographies du métro de New York que de la vue « top of the rock » du Rockfeller Center. Pourtant, la lumière y est difficile. J’ai déjà hâte de voir celui de Barcelone. Je suis un claustrophobe masochiste. Heu docteur, ça se soigne ? Malheureusement, l’AF du D800E étant kaput, et pire, ayant oublié mon trépied, on repassera pour la variété (la prochaine fois je me lâche, promis). En attendant la belle espagnole, un petit saut à New York (octobre 2011). Les photos suivantes ont été prises au Nikon D300 + Nikkor 18-200. La photo plus haute a été prise au Nikon D800E + Tamron 17-35f2.8-4.
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J’aime les vieilles enseignes lumineuses. C’est un amour contre nature pour moi qui abhorre toute forme de pollution lumineuse, mais rien n’y fait. Certaines d’entre elles sont pour moi de véritables pièces de graphisme. Seulement, c’est un art qui se perd et de nombreux commerces optent pour de vulgaires panneaux lumineux. Heureusement, certaines villes ont légiféré pour en interdire l’implantation. Si New York, Taïwan et Hong Kong sont de véritables paradis de cet enfer, Rivière-du-Loup, dans sa toute modestie, en compte quelques-unes, malheureusement trop souvent banales et laides. Celle du Motel Côté est définitivement ma préférée. Elle s’intègre au bâtiment. Son esthétique d’un autre âge en fait un témoin du passé de la ville. Les enseignes lumineuses attirent mon regard. Tubes, fluorescents, et écrans, je suis un papillon de nuit réincarné. I ♥ New York! On suggère souvent d’attendre qu’il n’y ait plus de lumières résiduelles dans le ciel pour photographier les enseignes. Oui, mais non. Une enseigne, comme c’est le cas avec celle du Motel Côté, se prête bien à l’heure bleue. Contrairement à ce qui est affiché ci-dessous, un cadrage serré s’avère l’idéal, histoire de mettre bien en évidence l’enseigne lumineuse choisie. De plus, un cadrage serré vous permettra […]
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See you soon New York ! Évidemment, vous verrez mille et autres choses à New York, il ne s’agit ici que d’un rapide survol d’une ville qui ne dort jamais. Solide coup de blues. Photos prises au Nikon D300.
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New York a beaucoup à montrer et à offrir. Il vous faudra malheureusement choisir entre (presque) tout voir ou savourer le moment. Et même si l’on dit que NYC est la ville qui ne dort jamais, vous manquerez de temps. Les nombreux musées présents à New York sont tous des incontournables, le MoMA, le Guggenheim, le MET, etc., mais vous vous enfermerez alors que la ville est là, grouillante, vivante, pétillante. Choisissez-en un en fonction de vos intérêts et n’y consacrez pas plus que 2 ou 3 heures (dans le cas du MET vous n’aurez pas le temps d’en voir le 1/10). Ou alors en cas de pluie… Le MoMA L’art moderne photographié au iPhone, ça a du sens Le Brooklyn bridge, n’écoutez pas une guide (on ne la nommera pas) qui vous déconseillera de marcher tout le pont. Allez-y ! Rendez-vous à Dumbo, pour une des plus spectaculaires vues sur la grosse pomme. Prenez aussi le ferry, c’est gratuit. Sortez le soir, baladez-vous, New York by night, c’est quelque chose. Chelsea Market La High line, ancienne voie ferrée aérienne convertie en espace vert. Un véritable parc… dans les airs. La High line fait aujourd’hui plus de deux kilomètres. Photos prises […]
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LE parc de New York. Immense, beau, vivant, un oasis de verdure dans une mer de béton. Il est le poumon de NYC. Le parc est impressionnant, d’abord par ses dimensions, 4 km par 800 mètres, il présente une superficie approximative de 3,41 km carrés. Imaginez, son budget d’entretien annuel avoisine les 200 M$. Central Park n’a rien de naturel, ses lacs, sentiers, bâtiments, tout a été savamment étudié… et dynamité. Ce sont Frederick Law Olmsted et Calvert Vaux qui sont à l’origine des plans initiaux du parc. Central Parc est aujourd’hui considéré comme l’un des grands parcs les plus sécuritaires au monde. Avec ses 36 ponts, ses sculptures, ses grands arbres que seuls les hauts buildings de la ville dépassent, des adeptes du jogging au volley-ball, le zoo, le musée, le magasin, le parc vous en mettra plein la vue. Le fameux baiser sur le pont Une façon originale de parcourir cet immense parc, louez une barque. Plaisir garanti. Il est aussi de coutume de se faire photographier au parc le jour de son mariage. Une deuxième mariée, jour de chance Photos prises au Nikon D300.
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Marcher à New York est une expérience en soi. Tout y est plus gros, plus beau, plus sale. C’est la grosse pomme et le marcheur en est le ver. Le plaisir comme le fruit y est abondant, plantureux. New York possède une superficie de 1 214 km². Pas moins de huit millions d’habitants s’y entassent. Pour s’y retrouver, la ville s’est dotée d’un système d’avenues et de rues numérotées, simple et pratique. Une jungle urbaine quadrillée. Les rues sont numérotées en partant du sud. Vous êtes sur la 32e et souhaitez rejoindre la 42e, c’est simple, marchez direction nord. Pour les avenues, vous l’aurez déjà compris, c’est d’est en ouest. Au milieu de tout ça, Broadway. La Pier 54 devait accueillir le Titanic, on connait la suite. L’infrastructure fut ensuite attitrée au Lusitania, torpillé en 1915, entrainant du même coup les États Unis dans la Grande Guerre. La structure a été démolie en 1991. Photos prises au Nikon D300.
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S’il est une vue incontournable de New York, il y a celle de nuit vue de Dumbo (on traverse le pont de Brooklyn à pied), mais aussi celle du Rockfeller Center communément appelée Top of the Rock. Le Rockfeller Center est un complexe de 19 bâtiments, dont le GE Building, haut de ses 70 étages (il est le neuvième plus haut bâtiment de NYC). La plaza aménagée à son sommet offre une vue saisissante de New York. D’un côté, l’immense Central Park, de l’autre le majestueux Empire State Building. La statue d’Atlas a été érigée en 1936 Deux conseils : réservez votre billet, et si vous en avez l’occasion, préférez une visite en début de soirée, les couleurs n’en seront que plus belles. Top of the Rock Central Park Photos prises au Nikon D300.
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Le Flatiron Building est l’un des immeubles les plus fameux de la grosse pomme. Son nom est inspiré de sa forme, Flatiron signifiant fer à repasser. Cette forme particulière en pointe à New York est due au croisement de la 5e avenue avec Broadway qui est la seule avenue de New York à ne pas respecter le plan d’alignement avec croisements à angles droits des autres artères de New York. L’immeuble de 22 étages est situé dans le quartier de Midtown. Sa construction s’est amorcé en 1900 pour se compléter en 1902. Photos prises au D300.
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Start spreadin´ the news I´m leaving today I want to be a part of it New York, New York These vagabond shoes Are longing to stray Right through the very heart of it New York, New York I want to wake up in a city That doesn´t sleep And find I´m king of the hill Top of the heap … C’est sous cet air mondialement connu de la chanson de Frank Sinatra que l’autobus a fait son entrée à New York, la ville qui ne dort jamais. Le cœur en ébullition, les yeux grands ouverts, nous nous sommes engouffrés au cœur d’une forêt faite de béton et de gratte-ciels. C’est l’incontournable voyage. Quartiers chinois et italien. Welcome to the jungle ! Quartier italien Direction Manhattan, où nous poserons nos pénates au Marriott Downtown, voisin du World Trade Center One. Le programme s’annonce chargé; découverte du métro de NYC, le quartier chinois, le quartier italien et Top of the Rock, c’est-à-dire la vue de New York du sommet du Rockfeller Center. Le site des World Trade Center avec le World Trade Center One en construction. Vue de l’hôtel. L’incontournable métro de New York. La suite n’a été que pur plaisir. Café […]
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Il y a deux semaines, je quittais pour un court séjour à New York. Deux semaines plus tard, je suis toujours incapable de me sortir la Grosse Pomme de la tête… et du coeur. J’ai le New York blues. >> Suivez François (@Zoom_Com) sur Twitter « I love New York ». J’ai succombé à ses nombreux charmes. J’aime New York pour sa démesure, son architecture, sa sécurité, son métro, ses gratte-ciels, mais avant tout pour son bouillonnement culturel et socio-économique. Imaginez, 2,5 % de sa population a un revenu annuel de plus de 1 M$. 200 000 millionnaires sur un territoire grand comme l’île D’Orléans où l’on retrouve aussi nombre de démunis. New York est une ville de contrastes, mais est étonnamment unie. Une simple randonnée à Central Park l’illustre. Pauvres, riches, immigrants, natifs américains, tout ce monde-là se partage un petit coin de verdure. Un coin d’ombre sous les saules géants. Il y a les Newyorkais et le reste des États-Unis. New York c’est l’état dans l’État. Tout y est différent. Avant mon récent séjour, mon dernier passage dans la Grosse Pomme remontait à 1989. Un aller-retour. En 22 ans, la ville a connu une véritable métamorphose. Les Newyorkais […]
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