Il y a deux semaines, je quittais pour un court séjour à New York. Deux semaines plus tard, je suis toujours incapable de me sortir la Grosse Pomme de la tête… et du coeur. J’ai le New York blues. >> Suivez François (@Zoom_Com) sur Twitter « I love New York ». J’ai succombé à ses nombreux charmes. J’aime New York pour sa démesure, son architecture, sa sécurité, son métro, ses gratte-ciels, mais avant tout pour son bouillonnement culturel et socio-économique. Imaginez, 2,5 % de sa population a un revenu annuel de plus de 1 M$. 200 000 millionnaires sur un territoire grand comme l’île D’Orléans où l’on retrouve aussi nombre de démunis. New York est une ville de contrastes, mais est étonnamment unie. Une simple randonnée à Central Park l’illustre. Pauvres, riches, immigrants, natifs américains, tout ce monde-là se partage un petit coin de verdure. Un coin d’ombre sous les saules géants. Il y a les Newyorkais et le reste des États-Unis. New York c’est l’état dans l’État. Tout y est différent. Avant mon récent séjour, mon dernier passage dans la Grosse Pomme remontait à 1989. Un aller-retour. En 22 ans, la ville a connu une véritable métamorphose. Les Newyorkais […]
Read More